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Sujet: Textes issus des concours Mer 7 Sep 2016 - 0:20
J'ai décidé de reposter ici tous les textes des différents concours, et ce pour plusieurs raisons.
1: Avoir une vue globale des différents textes. 2: Créditer correctement les auteurs et ne pas avoir à relire les résultats à chaque fois. 3: Pouvoir les lire sans avoir à descendre toute la partie administrative et les dizaines de messages des participants. 4: Pouvoir verrouiller les sujets des précédents concours (sans pour autant les supprimer.) 5: Offrir un espace de commentaire plus "actuel" suite au précédent point. 6: Faciliter leur recensement dans le sujet "recap des fictions".
En espérant pouvoir vous faire redécouvrir ces petites perles !
Premier concours:
Thème: Les crackship
Médaille d'or: Un amour si doux (Par Gamshow):
Jack Noir était tout bonnement excédé. Qui osait faire du remue-ménage dans la prison ? De nombreux prisonniers avaient été amenés récemment, et il suspectait les jeunes prospitiens d'avoir monté un plan d'évasion au lieu de s'être tenus bien sages au fond de leurs cellules. C'était déjà la quatrième fois qu'il y a avait une rébellion des prisonniers, et ça commençait à bien faire. A chaque fois qu'il y avait un grand groupe de nouveaux, immanquablement, une révolte survenait. Tout aurait été plus simple si on les avait fait exécuter, selon Jack. Rapidement, proprement. Et ça aurait fait de la place dans le palais. Il aurait volontiers fait construire des appartements personnels à la place de ces répugnants cachots. Avec de magnifiques tentures en velours. Des meubles polis et cirés. Des lourds tapis ornés. Des têtes de prospitiens accrochées aux murs.
Jack soupira. Il pouvait rêver. Mêmes les appartements de la reine n'était sûrement pas aussi luxueux. Des économies ! Toujours faire des économies ! Pff. Si on avait daigné faire exécuter les prisonniers, on aurait déjà fait des économies en nourriture et en eau. Ce qui aurait été un bon début quand même. Et à quoi bon faire des économies quand le trésor des ennemis était à la portée de son peuple ? Incompréhensible. Le dersite jeta un regard mauvais sur un petit serviteur qu'il croisa, lequel se pressait, tout transpirant. Il avait l'air d'avoir parcouru une sacrée distance déjà. Voilà un autre problème ! Le palais ! Tellement grand qu'on perdait un temps fou à chaque fois qu'on voulait aller quelque part. Sans parler de la surface à chauffer. Une véritable horreur. Économies, tu parles. Il y en a qui ont le sens des priorités...
Penser à la reine commençait à lui faire chauffer les oreilles. Celle-la ! Bon sang ! Pourquoi lui faisait-elle porter un couvre-chef aussi ridicule ? Jack le détestait de toutes ses forces. Ce chapeau semblait presque plus important que lui dans la hiérarchie. Impossible d'être pris au sérieux par qui que ce soit s'il ne le portait pas. Mais où allait-on ? Quand il avait fait part de sa jalousie envers ce stupide accessoire à la reine, elle avait rit et lui avait simplement répondu que s'il ressentait tant un esprit de compétition quand il voyait ce chapeau, c'est qu'il devrait peut-être lui proposer une relation noire. Une relation noire ! Et puis quoi encore ? Qu'est-ce qu'il fallait pas entendre. Elle le prenait pour un dégoutant sexuellement intéressé par les objets. Pour peu que ça existe.. Génial. Un point de crédibilité en moins pour lui, un de plus pour le chapeau. D'accord, ce couvre-chef était confortable. Et tenait chaud. Il était doux même. Car oui, il était en soie. Bon sang, de la soie. De la soie ! Des économies à faire, sauf sur la soie visiblement. Pas que ça ne lui déplaise. Il adorait la soie. Cette sublime matière, si brillante, si agréable au toucher ! Finalement, c'était le seul signe extérieur de luxe qu'on lui permettait de posséder. Ce n'était pas si horrible que ça finale- NON. Ressaisis-toi, Jack. C'est un chapeau super moche. Ce chapeau te supplante dans la hiérarchie !
Lentement, il posa les mains sur l'objet et le retira. Personne d'important n'allait le surprendre nu-tête dans cette aile du château. Il pouvait bien se permettre de le garder sous le bras le temps d'arriver à la prison. Il suspendit son geste de le glisser contre son aisselle pour l'observer. Il luisait doucement à la lumière tamisée du couloir. Ses couleurs criardes, si elles étaient stupides et arrangées n'importe comment, contrastaient néanmoins avec le violet environnant. Et ça signifiait beaucoup pour Jack. Parce que naître, grandir et travailler sur une immense planète monochrome, toute de violet-mauve et de mauve-violet, finissait pas le répugner. Mais là ! Du vert, du rouge, du orange, et même des grelots jaunes. Jaune ! Ô délicieux jaune, couleur la plus belle et la plus éloignée de cet immonde violet ! Il secoua légèrement l'objet, faisant tintinnabuler les dits grelots. Peut-être était-ce cela qui rendait si important ce chapeau par rapport aux dersites. Ces grelots. Leur son était quasi envoutant. Ce beau chapeau...
L'agent dersite reprit ses esprits, la joue collée au tissu. Il était en train de caresser du bout des doigts cette matière éclatante, perdu dans ses pensées. Voilà qu'il se faisait envouter par ce truc maintenant. Génial. Il grogna. Il devrait le remettre sur sa tête et filer à la prison, au lieu de trainer. On avait besoin de lui là-bas. Et on avait besoin du chapeau. Le chapeau allait sauver la situation. Son fidèle acolyte. Presque, je dis bien presque, de bonne humeur, Jack Noir enfonça le vêtement sur sa tête, se laissant envahir par la douce chaleur qu'il dégageait, savourant la douceur de la soie. Quel bonheur. Quel- ARGH. Bon sang, Jack, ta gueule, ce chapeau est totalement idiot. Il est horrible, il gratte, il pèse lourd, on te force à le porter, et SÉRIEUSEMENT, il a plus d'importance que toi dans la hiérarchie ! Alors arrête de réfléchir, accélère le pas et va secourir ces pauvres gardes qui n'arrivent pas à empêcher l'évasion ! Évasion qui a dû réussir vu le temps que tu leur as laissé pour ça à cause de tes réflexions débiles sur ce truc. Vas-y !
Horrifié par ses propres pensées et par ce narrateur soudainement très désagréable, le dersite se mit à courir en direction du problème. Rapidement, il entendit des bruits de lutte. Arrivé sur les lieux, il pu constater avec soulagement que les rebelles étaient un rebelle. Soulagement qui laissa immédiatement place à l'horreur, puisque le rebelle était LE rebelle. Cet homme qui avait gentiment suivi les sous-fifres avec un gâteau avec lui, et qui ensuite avait soudainement décidé d'en frapper un du plat de la main, ce qui l'avait immédiatement tué. Ce type était dangereux. Et armé, visiblement. Ce qui rendait la situation bien pire. Il jetait au tapis allègrement tous les gardes qui s'interposaient, dans des mouvements de bras assez gracieux, proches d'un ballet. Bientôt, le dernier adversaire fut terrassé. N'écoutant que son courage, Jack s'élança sur l'ennemi. Mais il fut trop rapide pour lui. Prestement, monsieur Egbert se saisit du chapeau de Jack. Les flammes et la semelle de la chaussure de l'assaillant eurent vite raison de l'objet.
Éliminé ! Son adversaire hiérarchique n'était plus ! Submergé par la joie, le dersite se sentit sourire intérieurement. Bon joueur, il permit au prisonnier de s'en aller. Après tout, il venait de lui rendre un grand service. Le pas léger de Dad Egbert s'éloigna dans les couloirs et s'éteignit, accompagné des grognements de douleur des victimes de son évasion. Jack Noir baissa les yeux vers les lambeaux de tissu calcinés. Il se sentait libéré. Un problème en moins sur les épaules. Oui, un problème... Il se sentait libre, en effet. Et terriblement nu. Il se planta soudainement les griffes dans sa carapace. Comment la mort de ce truc pouvait-il lui faire de l'effet ? Franchement ? Il l'avait supporté pendant des heures, l'avait supporté pendant les réunions de guerre, l'avait supporté en audience avec la reine ! Et ce truc, enfin détruit, le rendait triste ? Bon sang mais Jack, tu es vraiment incompréhensible. Je vais finir par abandonner.
Voilà que le narrateur s'énervait encore. Eh bien qu'il l'arrête, cette histoire, si ça pouvait lui faire plaisir ! De toute façon, s'attrister sur le sort d'un chapeau était bien la dernière chose qu'il avait envie de faire. Mais d'un côté, il était son seul soutien ici... La reine n'en faisait qu'à sa tête, les serviteurs avaient peur de lui, ses plus proches acolytes n'étaient pas vraiment ce qu'on pouvait appeler des amis... Et ses quadrants étaient vides.
Désespérément vides. Laissant une larme rouler sur sa joue, Jack ramassa délicatement le tissu et s'enfuit avec dans ses appartements. Il allait lui donner des vraies funérailles. Il allait faire les choses en grand. Ce serait quelque chose de beau. Oui, un enterrement en grandes pompes, pour la seule chose qui lui avait tenu compagnie dans cet enfer violet. Merci, fidèle couvre-chef. Tu a été courageux de me supporter alors même que je ne voyais pas à quel point je t'aimais. Et ce fut, dit-on, la plus belle déclaration mentale rubescente adressée à un chapeau.
Médaille d'argent: Sans titre (Par electrickNeko):
A écouter pour la première partie :
Et pour la seconde :
Au loin une petite silhouette était en train d’errer dans le néant absolu en ce moment...Il s'agissait de la tienne, petite cornes pointues, yeux rouges, petite avec sur le visage une habitude à avoir dessiner un sourire carnassier. Sauf que c'est guère le cas en cet instant. Tu étais là à te morfondre sur toi-même, à t'en vouloir, à regretter de n'avoir rien pu faire, c'est ce moment précis où tu as réellement pris conscience des sentiments que tu éprouvais pour celle qui aurait été la mutante de service dans un univers alternatif si l'hemospectrum aurait été à l'envers, ça aurait été bien embêtant de voir quelqu'un d'aussi pétillant devenir aussi grognon et grise que Karkat non ? Vous savez c'est la troll dont tout le monde se fish....Celle qui apparaît que peu de pages dans le webcomic, celle qui est ô grand dieu détestée parce qu'elle s'interfère dans le EriSol. Elle qui est toute en couleur avec ses jeux de mots tout aussi trognon mais bon, nous allons pas en faire toute un coquillage. Si elle avait été encore de ce monde, tu lui aurais un jour dévoilé tes sentiments, ou pas. Parce que ça aurait été une honte qu'une troll terrestre puisse sortir avec une seadweller, Eridan aurait probablement piqué une énorme crise, il aurait pu te tuer même pour la récupérer que pour lui. Tu étais en train de te tordre en sanglots versant des larmes turquoises sans t'arrêter, ces sentiments qui ne pouvait s'épanouir envers la belle fushia ne faisais que te tuer encore et encore...Te comprimaient le cœur au point que tu aimerais en vomir.
«Feferi...Pardonne-moi...Pardonne-moi d'avoir pas su te protéger ce jour là...Si tu étais encore vivante j'aurais peut être tout dit, j'aurais arrêté de te lancer des regards furtifs j'aurais arrêté de manger les rares craies fushia qui existe en ce monde pour soulager mon mal, en cachette en plus, j'aurai été sentir la mer avec toi même si je ne sais pas nager, jouer au détective avec toi, et lorsque tu aurais été au trône j'aurai été ton bras droit...ta plus grande justicière...Il n'y a que toi qui pouvais comprendre mes idéaux de paix, tu étais la seule troll sensée de ce groupe...Tu étais la seule que j'aimais au plus profond de moi après Karkat et Vriska et je l'ai toujours nié...Je t'ai jamais parlé parce que j'avais peur de te parler, tu m'intimidais à cause de ton rang, je l'ai toujours refoulé parce que je savais que c'était impossible que je finisse matesprit avec toi...Je me suis toujours cachée lâchement ...juste par ...peur...pourquoi...pour qu'au final le seul jour ou j'ai eu un réel contact avec toi c'est lors de ta mort ou j'ai pas pu m'empêcher de te renifler de haut en bas a pleins poumons, et dévorer l'intérieur de ta blessure au ventre parce que tu étais trop ...trop bonne à manger. »
Tu ne te privais même plus d'hurler son nom dans le vide en te facepalmant jusqu'à faire saigner ton propre visage, tu avais planté tes ongles dans ta propre chair...L'amour est bien une chose qui peut être très passionnelle comme vous faire plongez dans le plus profond des désespoirs . Et toi, désespérée tu l'étais, toutes tes relations amoureuses du début à la fin n'ont été qu'une suite de cuisants échecs. C'est alors que soudain le souvenir de ta maison se matérialisa sous ton nez, elle était proche de la mer.
« H....Hein ? Tes pleurs s’arrêtaient tu avais un air béat, et des bras entouraient ta taille, une odeur framboisière exquise te montait au nez...Tu ne comprenais pas trop ce qu'il t'arrivait, une tête posée sur ton épaule s'approchait à ton oreille pour te murmurer d'une voix pleine de tendresse que tu reconnaissais bien.
- Allons...Ne fais pas comme si tu glubbais rien à rien de ce qu'il se passe, j'ai tout entendu eheheh glub glub »
Son odeur, sa voix, ses joues rosies que tu sentais sur les tiennes. C'était bien elle.
«Fef....Feferi ? C'est bien...toi ? » Tu ne savais plus où te mettre, tu ne savais même pas si tu devais être triste ou heureuse, ton cœur cognait comme un tambour à l'intérieur de toi-même tu sentais ton corps avec le sien descendre sur la terre ferme, l'eau de mer caresser vos pieds, elle vous avez posé au sol. Elle avait pris ta tête entre ses mains royales en continuant à être la plus rassurante possible, en ce monde il y avait pas plus rassurante pour toi...
« C'est bien moi Terezi...c'est bien moi.. » Elle enchaînait en posant un doigt sur tes lèvres avant que tu ne dises le moindre mot, elle gardait l'une de ses mains sur ta joue en nettoyant chacune de tes larmes, elle t’amenait avec elle dans l'eau....Puis elle reprit en t'offrant son plus beau sourire, tu ne le voyais peut être pas, ou de manière très floue. Mais tu le sentais.
« Je ne saurai pas vraiment comment réagir à toutes ces choses que tu m'as dites tu sais...Mais ...ça fait longtemps que je ne me suis sentie aussi heureuse depuis ma mort, tes paroles m'ont touchée droit au cœur, et je ...erm...pour être honnête...du temps où j'étais vivante je croâ que je t'ai aussi pas mal regardée et j'aime ta façon d'être, j'aime ta façon de penser...Oh et puis merle ! » Elle t'embrassait front contre front, t'avait poussée à la renverse dans l'eau, c'était doux...c'était fougueux...c'était sincère, laissant glisser le bout de ses doigts du haut de ton corps jusqu'aux hanches, t'arrachant un frisson qui te parcourait jusqu'à l'échine. Le sang présent sur ton visage disparaissait avec celui de la mer, le sel désinfectait le tout. Tu étais comme sur un petit nuage, son goût te montait à la tête c'était pire que de l'extasy tu savourais, tu faisais virevolter ta langue avec la sienne comme si vous étiez dans un bal, un coup a droite, un coup a gauche et on tourne...En parlant de danse, le tourneur de disque de ta maison s'était allumée tout seule pour jouer à fond l'air de « A Little Party Never Killed Nobody » c'était un disque que Dave t'avait fabriqué pendant le jeu. Une musique qui swing bien...très électro.
La femme poisson interloquée rompt le baiser de suite. Tu expliquais de ce qu'il s'agissait en souriant à ton tour en lui avouant « Je t'aime, je t'aime plus que tout au monde Fef... j'aimerais que cette nuit dure pour toujours, malheureusement tôt au tard je vais me réveiller
Je t'aime tout autant Terezi....depuis le temps ou je te l'ai caché aussi 38P J'ai appris à bien te cerner tu sais, je sais comment tu es ! Uh ? Dans ce cas... On va fêter ça avant que tu te réveille 38D ! »
La princesse se relevait trempée de la tête aux pieds, te tendant une main, sourire carnassier, prenant une pose digne d'une reine. Toute fushiatesque de la tête jusqu'aux branchies, toi c'est ta tête qui était turquoise, tu ne t'attendais tellement pas à tout ça. Ton rêve se réalise enfin !
« Ma justicière préférée veut-elle bien m'accorder une petite danse ? 38D »
Tu saisis sa main lui lançant un regard charmeur à travers tes lunettes en ramenant son corps vers le sien, tu étais aussi trempée tout comme elle, ce n'était pas grave ça rendait les choses encore plus.. .---EXICTANT---E !!
« Volontiers, majestée > ; ] » Et c'est ainsi que vous vous êtes mises à danser du Charleston de la mer, à la forêt de cerisier jusqu'à chez toi dans des éclats de rire et beaucoup beaucoup d'amour...Pour finir à l'intérieur de ta cabane, à boire du slime sur le plancher en vous racontant un tas de choses.. dans un tas de scalemates , jusqu'à l'ivresse pour finir dans une note plus intime que l'auteur de cette fic n'a pas besoin de préciser parce que vous êtes déjà assez pervers comme ça ! ] : <
Médaille de bronze: La couleur de tes yeux (Par CrazyMissdream):
Il garda les yeux clos se sentant observé Les ouvrit peu à peu afin de constater Que l'éclat du soleil ne lui faisait point face Une silhouette assise lui ayant pris sa place
La fille aux cornes pointues l'accueillit d'un sourire L'interrogeant sur ses plus récents souvenirs Sa mémoire était vague il ne su que penser Car au fond souhaitait-il vraiment se rappeler ?
« Je n’sais plus » Il mentit de peur de la vexer Mirant le paysage dont il était cerclé "Où suis-je donc ?" Demanda le parfait inconnu "Dream bubble" Fut la seule réponse qu'il reçu
Il en comprit bien vite sa présence en ces lieux La jeune troll s'approcha '"Et vous êtes ? Monsieur." "Mort" fut la seule parole qu'il lâcha en retour Elle rit et se leva, s'exclamant a son tour
"Nous le sommes tous ici, ce n'est plus un souci" Sans poser de questions l'inconnu la suivit Observant au travers de ses lunettes noires Son guide improvisé et sa tenue bizarre
Des gants de satin rouge et un pantalon bleu Un tee-shirt assorti et de bien longs cheveux Son haut affublé du signe de la balance Elle le portait pourtant avec grande élégance.
Elle lui donna son nom sans vraiment de raison L'entrainant, ravie, auprès de ses compagnons Il souffla "Latula, c'est sympa comme prénom -C'est flattant de la part d'un si joli garçon"
Il savait qu'elle blaguait, ne s'en formalisait La suivait dans ses pas, et soudain remarqua Qu'un homme à la peau grise au loin les attendait Sitôt qu'ils s'approchèrent, il les interpella
Étrangement coiffé et les cornes ondulées Cigarette à la main il se mit à parler Un nuage de fumée s’échappant de sa bouche Déblatérant des paroles plus ou moins louches
"Latula tu n'aurais pas vu une fille en noir ? Une certaine Snowmen dont l'mutant m'a parlé." Elle ôta ses lunettes le toisant du regard Laissant paraitre ses yeux d'un blanc immaculé
Le blond les contempla ne pouvant s'en défaire Écoutant de temps en temps quelques commentaires "T'imagine si jme tapais tout un univers ?" C'était sans importance, il ne s'en souciait guère
Une discussion banale entre deux trépassés "Cronus tu n'y penses pas ?" Enchaina Latula Le troll semblait sérieux, elle soupira, blasée "Fais donc ce que tu veux" et sur ce le quitta
Poursuivant son chemin en bien bonne compagnie S’amusant des chevaux qui leurs tournaient autour Et scrutant l’horizon aux couleurs assombries Tentant de retrouver son groupe aux alentours
Ces superbes équidés ne cessaient de courir Leur magnifique pelage les faisait reluire Sous le soleil couchant qui sublimait leur crin Ils hennissaient alors un magnifique refrain.
Tapant de leurs sabots tels de fiers destriers. Galopant fièrement, ils semblaient s'envoler Un arc-en-ciel de couleurs, une mélodie pure Un sublime spectacle, merveilleuse peinture
Elle les trouva enfin s’exclamant de vive voix Qu’il lui tardait de lui présenter ses alliés Il en fut très ravi mais lui cacha sa joie Par habitude sans doute de se contrôler
Il ne laissait paraitre ses vrais sentiments Se cachant sous un masque qu’il savait futile Paradoxalement se mettait en avant Se voulant impavide sous cette allure puérile
Il détailla les têtes qu'il découvrait alors Un troll assit par terre, un chapeau a la main Semblait jouer tristement avec sa reliure d'or Il était habillé d'un costume anodin
Les cornes exfoliée et un air incertain. Il semblait malheureux d'être présent en ces lieux. Regrettant amèrement l'existence de ce jeu. Qui, de sa très chère planète, causa la fin.
Un autre assis non loin hélait avec entrain Comme si leur arrivée était miraculeuse Se leva et clama d'une voix chaleureuse. Qu'il ne leur fallait point demeurer aussi loin
Arborant une combinaison noire et dorée Un casque sur la tête et des verres bicolores Il semblait entamer une longue logorrhée Un verbiage qui augmentait le niveau sonore
Achalant un troll qui pourtant lui faisait dos Ce dernier ne semblait souhaiter venir aux mots Et leva le majeur comme par acrimonie Flottant tel un fantôme dépourvu d'empathie
Le teint de couleur vert, lunettes dépareillées Un teeshirt un peu grand sur lequel se trouvait Les signes du verseau et gémeaux mélangés Restant muet, préférant rester en retrait
"N'y fais pas attention, il passe de temps en temps. Il parle avec Nektan puis s'en va aussitôt." Latula ricanait telle une grande enfant Alors que l'homme masqué poursuivait ses ragots.
D'autres trainaient autour, ne semblant se soucier De cette agitation, pour eux, habituelle Des trolls et des humains plus ou moins familiers Et parmi eux de nombreux doubles temporels
Il en fit de même se mit à les ignorer Se concentrant sur ce groupe a peine rencontré Non désireux d'entamer la conversation Mais contraint tout de même à faire bonne impression
Notre nouveau venu hésita un instant Puis tenta une approche qui se voulait marrante "C'est la mode les lunettes teintées en ce moment ?" Tous aussitôt se turent contrairement à l'attente.
"On les portait avant le jour de notre mort. Aujourd'hui cachent ces yeux blanc dont nous sommes pourvus Qui nous rappellent chaque jour que nous ne sommes plus" A ses paroles notre blond fut pris de remords
Une culpabilité qu'il tentait de cacher Se sentant étranger songeant même à partir Mais fut vite convaincu par le triste sourire De celle qu'il ne pouvait se résoudre à quitter
Et se jurant malgré lui, qu'il la soutiendrait Entreprit alors de la suivre où qu'elle allait. Jamais ne s’éloignait, jamais ne la quittait Pas même du regard quand bien même il savait
Que cet amour naissant n’était point réciproque Loin de lui la peur qu'une telle relation choque Ses raisons étaient autres, une foucade ineffable Un mensonge qui rendait ses sentiments instables.
Un soir au pied d'une dune il lui tint ces mots-mêmes : "Quelle est la couleur du ciel que nous regardons ? -Il est bleu, n'est-il pas ?" Où était le problème ? Il sourit tendrement, lorgnant sur l'horizon.
"Imagine maintenant que je vois cette teinte Différemment des autres et que naturellement Me fut décrit par mon grand frère comme étant cyan Là où pourtant mes yeux distinguaient de l'absinthe
Où est la vérité ? Est-il vert ou bleuté ? -Où veux-tu en venir ? Dit-elle un peu sceptique. -Tes yeux ne sont pas blancs, ils sont juste magnifiques." Latula amusée, comme pour fuir le sujet
Lui dit avec malice "Et qu'en est-il des tiens ?" Et ainsi sur ses lunettes noires porta sa main Il n’eut rien vu venir qu'aussitôt les enleva Faisant tomber le masque de bout de ses doigts
Un visage au trais fins se dessinait alors Recouvert par endroit de quelques mèches d'or Et au creux de ses yeux à présent dévoilés Deux pupilles orangées depuis ce temps cachées
"Tu le savais, n'est-ce pas ?" demanda Latula Tout en posant au sol les montures dérobées Le blond pérennisant l'instant de vérité Finit quand même par dire "Je le niais. -Et pourquoi ?"
Voyant qu'il n'osait répondre elle continua "Il te faut les rejoindre, ils ont besoin de toi" Ôtant ses propres verts, le fixant du regard Lui vola un baiser pour ultime au revoir.
"Je sais que tu reviendras. Après tout, tes yeux sont blancs, n'est-il pas ?"
Médaille en chocolat: Roxy x Gl'bgolyb en rouge (Par Undyne):
ATTENTION, NSFW
Soirée du dix-septième anniversaire de Roxy :
Roxy regarda la fenêtre pour la énième fois, dodelinant du crâne alors que tout tournait autour d'elle. Elle était complètement bourrée, pour changer, mais surtout, terriblement, terrriiiiblement horny. Comment le savait-elle ? Et bien, c'est ce que lui indiquait ses culottes depuis maintenant une semaine à la moindre pensée un peu érotique. Hors pour assouvir ce genre de besoin sur cette fichue planète il n'y avait pas tant de possibilités puisque techniquement, il ne restait que deux humains. D'où le besoin de se déplacer, d'où la fenêtre … d'où l'alcool. CQFD. Chacun ses faiblesses hein et Roxy avait beau se la jouer, au fond, elle se sentait surtout très seule et ne savait définitivement pas ce que ce jeune homme perdu à l'autre bout de l'océan ressentait pour elle. Ne le savait pas encore se dit-elle avant de boire une autre gorgée pour se donner du courage, car oui ce soir, elle allait faire le grand saut, utiliser cette machine et se rendre directement chez lui, tout lui déballer, l'embrasser, se jeter sur le lit et … et …. Étouffant un soupir de désespoir, elle chassa sa main de sa culotte comme un autre en aurait fait d'un insecte dérangeant et se redressa, titubant un peu. Avant tout il fallait rétablir le courant et mettre des vêtements. Cela prit quelques longues minutes à la jeune fille, le temps d'enfiler son t-shirt préféré, son soutient gorge assorti à ses dessous et sa jupe porte-bonheur. Sans oublier les vérifications, il n'y avait que quelques secondes de transport mais une petite voix lui disait qu'il ne valait mieux pas que l’énergie se coupe pile à ce moment. L'image de son corps coupé en deux, un bout ici et un bout chez Dirk lui fila la nausée. Elle se dépêcha donc de la chasser, vu son état la nausée était synonyme de gros ennuis.
Puis, sans plus attendre, elle prit son courage à deux mains et sauta, brisant la vitre pour disparaître dans les ténèbres. Quelques secondes de voyage, quelques secondes de voyage, se répétait-elle en boucle lors de la traversée, mais subitement la lumière qui l'attendait en bas disparu et Roxy se retrouva à rouler bouler sur une surface molle qui l'envoya valser comme l'aurait fait un château gonflable. Complètement perdue, la jeune femme tenta d'ouvrir les yeux en vain. L'obscurité était totale, mais où avait-elle atterri ? Une sueur froide lui coula le long du dos, était-elle perdue dans l'espace ? Sa respiration se fit pressente, non ce n'était pas cela, il faisait bon ici et elle pouvait respirer. Soudain, interrompant ses pensées, une immense forme se détacha dans le noir, tornade de lumière iridescentes dont les couleurs lui était inconnue, elle se sentit transpercée de part en part tandis que la chose tournoyait, s'orientait et convulsait. Cela lui rappelait le hurlement du nouveau né, la transcendance de l'être en devenir et pendant une fraction de seconde elle crut entendre les étoiles hurler. Puis elle comprit, c'était un œil et ça la regardait. Une odeur âcre lui fit rapidement tourner la tête. Elle se tenait au milieu d'un amas violacé de consistance fongique sur lequel un étrange fluide visqueux coulait. Lorsque celui-ci touchait ses chaussures, celles-ci se dissolvaient en suintant, avec un hurlement d'horreur elle sentit le liquide entre en contact avec ses pieds, elle allait se faire digérer ! Mais rien ne se produisit, seul une agréable tiédeur se fit sentir, grimpant le long de ses jambes. Par mesure de précaution elle serra sa jupe, regardant ses collants se faire grignoter petit à petit par le suc. Si cette chose avait voulu la dévorer cela aurait-été fait depuis longtemps, alors de quoi était-il question ? La réponse lui parvint plus rapidement qu'elle ne l'aurait voulue. Sortant de l'ombre tel un serpent un tentacule s'enroula autour de sa jambe, la jetant au sol dans des éclaboussures de sucs. Hurlant Roxy tenta de se débattre, frappant la chose du pieds et des mains avant qu'un autre appendice sorte de l'ombre puis lui immobilise la seconde jambe avant de la soulever tête en bas. Pendant un instant sa jupe se retroussa, l'empêchant de voir quoi que ce soit, elle du batailler pour la dégager, lui permettant de voir le spectacle autour d'elle. Roxy était suspendue tête en bas, encerclée par des centaines de tentacules identiques à celles qui venaient de la suspendre, elle étouffa un gémissement devant l'ampleur des dégâts sur ses habits. Il ne restait pratiquement rien de ses collants et sa jupe commençait à être sévèrement entamée, quant à son tee-shirt, il baillait de manière indécente affichant son soutient gorge rose bonbon. Réprimant un gémissement alors que la chaleur parcourait maintenant tout son corps, la jeune femme tenta une dernière fois de se délivrer, s’agitant de manière molle, suspendue deux bon mètres au dessus du sol. Mais elle était trop ivre, la chaleur était trop agréable et elle n'avait juste plus envie de lutter, avec un soupir résigné elle se laisse pendre, qu'ils fassent ce qu'ils veulent d'elle, elle s'en fichait. Du moins elle le croyait jusqu'à ce qu'une chaleur bien plus intime se fasse sentir, redressant la tête elle regarda avec horreur un des tentacules qui s'était enroulé autour de sa jambe, remonter jusqu'au sa culotte et commence à se frotter contre. La chose dégageait le même sucs que le sol ! Avant que Roxy ne puisse réagir la chose avait digéré sa lingerie et commençait à se frotter contre son sexe. Cette fois-ci elle ne put se retenir de gémir tant que le plaisir montait immédiatement, sublimé par la chaleur aphrodisiaque de la tentacule. Ce gémissement devait être ce que les autres attendaient car aussitôt ils s'élevèrent vers elle, l'entourant pour la redresser tout en attachant ses mains dans son dos, frottant son soutien-gorge puis ses seins et même ses lèvres. Elle tenta bien de résister mais un nouveau glissement sur son clitoris lui arracha un autre gémissement et l'appendice plongea dans sa bouche, avide d'en explorer l'intérieur, lui donnait l'impression d'avoir la tête encore plus en feu que lors de ses plus grosses soirées. Soudain elle sentit ses jambes s'écarter un peu plus sous la pression des tentacules et quelque chose glissa différemment sur elle. Écarquillant les yeux elle mordit l'appendice dans sa bouche, le faisant se rétracter en bourdonnant et elle releva la tête, tentant d'apercevoir ce qu'il se passait. Il y avait du sang sur le tentacule, se pourrait-il que ? Un plaisir étrange se fit sentir en elle, quelque chose qu'elle n'avait jamais encore ressentit, une chaleur émanant de l'intérieur même de son bas-ventre. C'est à ce moment là qu'elle compris que le sucs était aussi un anesthésiant et que ces choses avaient décidé de passer à la vitesse supérieure. Comme pour répondre à cette pensée, la tentacule fit un arc-de-cercle et s'enfonça profondément en elle, remplaçant la chaleur par un plaisir intense auquel elle répondit par un gémissement brutal et involontaire. Elle n'osait guère se l'avouer mais elle avait toujours eu peur que la première fois lui soit douloureuse, or c'était là tout le contraire. Une nouvelle poussée lui fit l'effet d'un shot de vodka et elle ne se débattit même pas tandis que l'appendice revenait à la charge dans sa bouche. Le monde devenait confus autour d'elle, il y avait trop de sensations pour qu'elle les assimile toutes, quelque chose suçait son sein tandis qu'une autre caressait ses cuisses et filait entre ses fesses, sans oublier la chose qui remuait en rythme dans sa bouche et celle qui s’agitait frénétiquement en elle, lui procurant un plaisir terrible. Elle sentit la chaleur continuer à grandir en elle, encore et encore, l'orgasme s'approchant doucement alors qu'on pressait ses seins tout en la pénétrant. Il lui semblait qu'ils avaient changé de position mais elle n'en était pas sûre, l'esprit effacé par le plaisir auquel chaque parcelle de son corps était soumise. Puis la chaleur devint insoutenable et dans une explosion de jouissance elle sentit son corps s'arc-bouter plusieurs fois alors que ses muscles se contractaient de manière involontaire. Cela dû faire son petit effet car elle sentit les choses grossir puis un liquide chaud se répandre en elle, venant par à coup et la remplissant. A tel point que l'air vint à lui manquer et que le monde bascula dans les ténèbres.
Roxy se réveilla en sursaut, ses doigts étaient humides et sa culotte porte-bonheur foutue. Elle était vraiment incorrigible.
Deuxième concours:
Thème: Les expressions
Médaille d'or: Oeil pour oeil (Par KiityRanie):
Œil pour œil
En cette sombre nuit survient un terrible événement. Le crime ultime est commis de la pire manière qui soit. Et dans ces conditions, la Justice se doit de ne faire aucun cadeau. Elle est déjà bien trop clémente envers ce malfaiteur qu'elle soupçonne depuis fort longtemps. Comment peut-elle être sincère dans ses excuses, elle qui a promis ? Pire trahison ne peut être désormais possible. Il n'y a qu'une seule solution pour mettre fin à la folie meurtrière qui habite l'esprit de la Troll.
Aujourd'hui, elle a perdu une amie.
Pourtant, la Juge essaye de converser. Le regret de ces heures de jeux passées ensembles semble la faire hésiter. Que cherche-elle exactement ? Il lui suffit d'un mot pour lui faire mordre la poussière. Alors pourquoi attendre ?
On n'efface pas ce que l'on a vécu. Au fond d'elle, elle veut croire que la coupable puisse ressentir quelque chose. De la culpabilité. C'est ta chance, Vriska, montre que tu peux être en paix avec toi-même.
Et pourtant, seul en sort l'échec, et la décision est désormais prise. Aucun retour en arrière n'est permis.
Amie ? Ennemie ? Tout ceci importe peu. Celle qui autrefois était complice devient traître. Elle doit payer. Elle va payer. La Balance penche en faveur de la Justice.
Dent pour dent
En cette sombre nuit survient un terrible événement. La sentence est tombée d'une manière assez inattendue. Et au vu des circonstances, la Revanche est de mise. Elle est déjà bien trop patiente avec ce pion qui s'agite à mesure que le temps passe. Comment peut-elle être encore utile, elle qui a retourné sa veste ? Pire trahison ne peut être désormais possible. Il n'y a qu'un seul moyen pour combattre la Justice qui affole l'œil de la Troll.
Aujourd'hui, elle a perdu un bras et une partie de sa vue.
La Revanche, quant-à elle, ne laisse aucune place à la discussion. Les souvenirs de ces heures de jeux passées ensemble ne lui frôlent même pas l'esprit. En quoi ce dernier est-il si occupé ? Il suffit d'un pion pour renverser l'échiquier. Pourquoi se priver ?
Ce qu'elle a vécu n'a aucune importance. Tout ce qui l'intéresse, c'est que cette garce ressente ce qu'elle a pu ressentir. De la douleur. Tu as gagné, Terezi, la paix est rompue.
Grâce à toi, la roue de la vengeance est enclenchée. Aucun retour en arrière n'est permis.
Amie ? Ennemie ? Tout ceci importe peu. Celle qui autrefois était complice devient traître. Elle doit payer. Elle va payer. La Balance de la Justice est corrompue.
Œil pour œil
En ce doux crépuscule survient un terrible événement. La réponse est rendue d'une manière plutôt tordue. Dans le présent contexte, la Justice est vaincue. La tension était bien trop tendue entre les deux opposantes pour que le temps soit réparateur. Comment une telle relation électrique pouvait durer ? Pire humiliation ne peut être désormais possible. Il faut se faire une raiosn, il n'y a pas d'échappatoire dans un cercle vicieux.
Aujourd'hui...
Le monde sera aveugle
Troisième concours:
Thème: Les petits bonheurs
Concours en cours
crazyMissdream
First guardian
Messages : 2247 Age : 27 Localisation : Dans une toute petite bulle onirique
Sujet: Re: Textes issus des concours Mer 7 Sep 2016 - 0:22
CECI N'EST PAS UN DOUBLE POST !!! Je réserve juste la place en vu d'un edit, car si je commence à répertorier tous les textes de tous les concours on va vite atteindre la limite de mots ! '0'/
Et n’hésitez pas à commenter les textes qui vous ont plu !
Textes issus des concours
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