Frenchstuck
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elfenStylerFirst guardian
Messages : 1000 Age : 26 Localisation : Land of Puzzles and Clouds
| Sujet: Le regard d'un défunt. Dim 3 Mar 2013 - 17:37 | |
| Le titre... Ouais, ça annonce la couleur, mais j'suis pas sure que ça corresponde vraiment avec ce que j'ai écrit. Pour dire c'est pas vraiment fini, c'est une sorte d'avant goût. Beaucoup de choses sont à approfondir et l'orthographe est surement à revoir bien que j'ai essayer au maximum de me relire (Deux jours après l'avoir écrit... ) Je ferais un petit topo de toute ce qui doit être revu pour vous demander (a ceux qui font une analyse globale) de me dire ce qu'il faudrait améliorer d'autre. Si vous voulez bien. :3 Ensuite, je ne connais pas les Rattings donc je dirais juste que y à genre, du SANG. A prendre au sens propre comme au sens figuré, donc les âmes sensibles et les fanatiques des trolls, ceci n'est pas pour vous. Aussi, il n'y a aucun kid dans cet écrit. Juste des trolls. Tous. Caliborn n'y est pas non plus. Que dire de plus? Bonne lecture. - Spoiler:
Un regard. Un simple regard. Un regard furtif avait suffit pour que vos sens soient atténués. Votre vision se troublait peu à peu, votre odorat était tellement utilisé en cet instant que ce fut comme si plus aucune saveur ne pourrait pénétrée votre nez, seule les textures subsisteraient dans votre bouche. Le silence profond dans lequel était plongé la pièce ne laissait à l'ouïe aucune utilité possible. Seul le touché restait neutre. La bouche pâteuse, vous essayiez de regarder le plus nettement possible autour de vous. Votre tête était baissée, ne laissant visible seulement vos chaussure. Vos sandales dans lesquelles étaient glissées des chaussettes blanches, enfin blanche est un bien grand mot vu l'état dans lequel elles étaient, tachées de maintes couleurs. Principalement de l'orange et du bleu, mais à y regarder de plus près, toutes les couleurs de l'arc en ciel y passent, seul le marron manque. La couleur de votre sang. C'est l'image qui vous venait à l'esprit le plus rapidement. Vous n'aviez pas tord dans la condition où, à vos côtés se trouve un tas de cadavre. Vous ne vous rappeliez plus du nom de ces personnes, mais saviez qu'ils étaient autrefois vos amis. Tous tués par l'un des vôtres, pensez-vous, mais pas vous. Étant le seul survivant, vous n'aviez qu'une envie: vous donnez la mort. Mais vous n’oseriez jamais faire une tel chose. Il est trop tard pour en avoir le courage. Pour palier à ce manque, vous décidiez de vous rappelez de ce qu'il s'est passer. Cela ne doit pas être bien compliquer, vu que la pièce est familière.
–– Un message. Un simple message d'un établissement a changé votre vie. Vous vous nommiez Karkat Vantas. La peau grise et les cornes que vous portiez sont synonyme d'une maladie grave qui rendait votre corps très fragile. Pour combattre cette «saloperie» vous vous étiez forger un caractère dur ainsi qu'une coquille de protection. La phrase qui vous allait le mieux est «Mieux vaut être seul que mal accompagner.» Pourtant vous étiez entouré de pleins de monde. Votre sang est semblable aux personnes saintes, mais vous êtes tout de même dans la catégorie malade. Vous avez du mal avec ça, comme avec beaucoup de chose, mais vous ne direz jamais rien la dessus. Vous viviez dans un hôpital spécial. Un jour d’ailleurs, un médecin toqua à la porte. Vous ne répondiez pas. Jamais. L'infirmier soupira et entra. Il vous annonça que vous alliez sortir de l'hôpital pendant deux mois. Une courte durée certes mais c'était déjà cela à prendre. Vous n'en montriez rien mais vous réjouissiez de cette nouvelle. Le fameux jour arriva. Un établissement normal, avec des gens normaux. Quoi de mieux? Vos réjouissances furent de courte durée lorsque vos «camarades» vous réservèrent un accueil... Grandiose. Des insultes, des coups, vous aviez la totale. Et le soir, la visite médicale. Que faire? Rester dans un endroit qui ne vous veut pas ou retourner en prison? Car oui, c'était une prison. Vous aviez choisis la première proposition, et vous alliez le regretter au bout de deux semaines. Le médecin nota sur son carnet que vous étiez un impertinent maladroit et vous vous en foutiez.
–– Vous aussi faisiez partie des gens choisis pour les tests. Un sourire de gamine, une bouille merveilleusement attirante, vous aviez tout pour vous. Les garçons de votre âge vous tournaient autour, et certaines filles étaient vos amies. Enfin vous pensiez. «Approcher la cible pour mieux la torturée». Vous étiez l'une de ses enfants qui sont fragiles physiquement, appelez les trolls par certains et les pauvres par d'autres. Vous n'aimiez pas la pitié et en aviez vite eut marre de vivre un tel calvaire. Vous vous appeliez Nepeta Leijon et vous vous étiez rendue dans cette pièce et vous étiez suicidé avec du cyanure obtenue par quelques connaissances.
–– Bien intégré dans votre classe vous n'aviez aucun problème. Malgré vos zozotements, les autres semblaient vous appréciez pour ce que vous étiez. Seulement, vous aviez commencer à apprécier une jeune fille comme vous, une troll. Les cheveux sombres, le regard vide. Elle était studieuse et vous ne pouviez pas en détacher le regard. De la vos notes ont commencer à baisser, déjà qu'elles n'étaient pas fameuses avec vos fautes incompréhensibles. Elle vous jetait quelques regards aussi, pour admirer vos yeux vairons. De loin il lui semblais que l'un d'eux était Onyx. Elle aimait ces yeux. C'était le seul réconfort qu'elle avait trouvée dans cet endroit. Elle savait que les amis qu'elle avait étaient là pour ses bonnes notes. Quoi de plus normal. Vous aviez finit par sortir ensemble, depuis le temps que vous vous cherchiez. Bien sur, cela n'allait pas se passer aussi bien! L'une de vos amies vous firent rencontrée la jeune Feferi, fraîche et vivante. Vous finissiez par tombé amoureux d'elle et dirent au revoir à Aradia. Les yeux mouillez de larmes, elle acquiesça. Bizarrement, elle n'émit aucune résistance. Elle se dirigea juste vers cette porte, la porte de cette salle, un classeur épais comme un bouquin de 600 pages et mis fin à ses jours. Vous n'en surent rien, bien évidement, trop occupé à faire la cour à la jeune troll, qui refusait vos avances. Vous en aviez plus qu'assez, et un jour vous lui aviez demander pourquoi. La réponse était simple: «Nous sommes malades.» Vous avez-t-elle dit. Malade? Votre tête à ce moment là était hilarante, vraiment. Comme si quelqu'un qui avait la gastro refuserait l'amour de sa vie... Toujours en était il que son regard était froisser. Il y avais quelqu'un d'autre dans son cœur, cela ne faisais nul doute. D'ailleurs, il s'était pendu peu de temps avant qu'Aradia ne se donne la mort. Elle n'arrivait pas à vivre avec ça sur la conscience et voulait demander à quelqu'un de se salir les mains pour elle, elle qui n'oserait jamais sauté le pas seule. Après un grand débat, vous étiez arriver tout deux à la même conclusion: Plutôt que de retourner en prison, mieux valait mourir. Vous aviez programmer un ordinateur à explosé lorsque vous mouriez. Ce qui vous donna une idée. Vous alliez vous suicider grâce au jeu de la roulette russe, autant rendre votre mort un minimum agréable, et des que vous seriez mort, l'ordinateur explosera, emportant ainsi votre amour. C'est ainsi qu'en un mois la pièce s'emplit de deux nouveaux cadavres pour arriver à un total de 5.
–– Un sourire étirait vos lèvres depuis une bonne dizaine de minutes déjà. En effet, votre meilleure amie était en train de confectionner une tenue pour vous. Si seulement elle savait ce que vous alliez en faire... Vos plans se montent les uns après les autres mais vous ne vous lassiez jamais d'embêter votre amie. Enfin, vous supposiez que c'en est une, vu que comparé a toute vos autres «amies», elle ne cherchait pas à devenir populaire en étant près de vous. C'est trop facile ces choses là... Enfin, laissons les cerveaux simples là où ils sont et retournons à la tenue. Une magnifique robe bleue faite dans un tissu ample et rare. Elle avait le don pour se procurer ce genre de choses. Mais pas les moyens, alors vous lui prêtiez de l'argent en échange de quelques vêtements lorsque vous vouliez renouveler votre garde robe. Cela vous allait très bien à toute deux, mais ce fameux jours vous aviez eut l'audace de lui demander une robe magnifique qui lui à coûtée nombre de nuit blanche pour la salir volontairement avec de la javel. Elle ne vous as jamais pardonner, vous en êtes morte d'ailleurs. Vous reposez maintenant dans cette pièce. Vous ne savez pas ce qu'elle as de spéciale cette pièce, mais les gens dépressifs l'aiment bien apparemment. Et Kanaya en a fait les frais, ne supportant pas la culpabilité de votre disparition. Les aiguilles sont si utiles dans ses cas là, vous n'auriez jamais du sous estimer leur puissance.
––
Allongée sur votre bureau, vous étiez presque là à dormir. Enfin, ce n'était pas votre faute si les cailloux ne vous ont jamais passionné. Autant le cours d'SVT en début d'année était intéressent, autant maintenant c'est complètement rasoir. Votre camarade de classe n'en a rien à faire de ce cour non plus mais tient à faire bonne figure alors il bosse. Enfin, il bosse... Il sue plus qu'il ne bosse quand même. Il ne savait plus quoi inventer pour excuser ses regards rêveurs alors il suait encore plus en s'excusant encore plus. Heureusement que ces cours sont en fin de journée aussi non vous auriez puer le phoque à longueur de journée. Un jour, ce fut le sujet de l'une de vos dispute. Vous aimiez vous disputer avec ce gars, c'est tellement drôle. Sauf que des fois, les disputes ça dégénère. Et vous vous étiez retrouvée aveugle. Vous n'aviez jamais rien dit à personne et êtes restez absente pendant deux bonnes semaines afin de soigné vos blessures et entraînez vos autres sens. Heureusement vous le faisiez déjà souvent. Une semaine passa sans que vous vous adressiez la parole. Finalement le grand Equius s'excusa platement et vous vous énerviez. Une énième bataille s’engagea tendis que vos pas vous menèrent à cette porte. Bizarrement, tout le monde était ici. Enfin quasiment toute les personnes atteinte de cette maladie. En un coup, vous vous retrouvés étendue par terre, incapable de faire le moindre mouvement. Votre constitution fragile en plus de votre incapacité à voir ce qu'il vous entoure vous achève. Mais tendit que vous voliez, votre bâton atterrit aux pieds d'Equius qui, à ce moment là, voulait se donner la mort. Cependant, il trouvait l'endroit mal ranger pour un cimetière et décida d'empiler les corps. Ainsi la pile se trouvait maintenant comme ça: -Nepeta, tout en bas. -Eridan -Aradia -Sollux -Feferi -Vriska -Kanaya -Terezi Et enfin, Equius qui venais de s'étaler sur la pile, un bâton-dragon dans le ventre.
–– Un mother fucking miracle, vous aviez envie de dire. Vous cherchiez quelqu'un lorsque vous étiez tombés sur cette pièce. Un tas d'arme posé de partout. L'une de vos préférée était l'aiguille piquante et tranchante qui était posée juste au milieux de la salle. Un peut de vert sécher était encore dessus. Vous l'essuyez d'un coup de langue et admirez le tas à proximité de vous. Vos yeux s'illuminent d'une lueur sordide. Vous vous amusiez à lacéré ces corps inanimés pour en faire sortir le sang et ainsi créé de belles toiles de tâches multicolores. Il vous manquait cependant une couleur. Une belle couleur, le rouge. Vous pensiez tout d'abord à l'un de vos amis humain qui s'était entailler le doigt lors de travaux pratiques mais vous dite qu'il n'a pas la même texture sur les autres. Vous vous posez alors un moment, jusqu'à que quelqu'un rentre.
-ET ENCORE DEUX. C'EST PAS POSSIBLE, QU'EST-CE QU'ELLE A CETTE SALLE?
Vos yeux s'éteignirent et un rire rauque retentit, le votre. Vous aimiez bien votre rire, il fait peur. C'est amusant, alors vous rigoliez encore et encore. Vous aviez trouvé votre rouge. Mais c'était sans compté sur marron, qui choisis ce moment pour entré, accompagner des médecins. En effet, aujourd'hui était votre dernier jour parmi les êtres «normaux» et vous alliez retournez en prison. Le jeune homme présenta ses amis aux blouses blanches et les blouses blanches à ses amis, mais il semblerait que les événement les ont tous fait oublier, au vivants tout du moins, qu'il venaient du même établissement. Ne réussissant pas à maîtriser par la parole le jeune clown en herbe, il n'eurent d'autre choix que de l'abattre. Cependant, Vantas s'interposa. Il voulais mourir avant, pour ne pas voir le massacre. Vous en profitèrent pour ajouter la couleur qu'il vous manquait à votre tableau avant d'être transpercé de part en part par une lance. Sur le moment, Tarvos n'avait pas trop compris ce qu'il s'était passé et demanda un temps pour se remémoré tout ça.
–– Ça y ai. Vous vous rappelez maintenant. Vous avez tant de famille à contacter et même pas une larme ne sort. Ils sont tout devenu fous, sauf vous. Ils sont tous devenus suicidaires, sauf vous. Tout le monde voulait en finir au plus vite, sauf vous. Vous êtes bien dans votre peau maintenant. Vous vous êtes changés et avez parler de cette histoire à votre grand frère, qui est dans le même cas que vous. Il se trouve que pour lui, la tragédie à été la même, sauf que tout le monde s'est jetée d'un pont. Le seul souvenir que vous gardez de cette aventure est cette lance tintée des couleurs de l'arc en ciel. Elle est très belle même si elle évoque en vous des pensées morbides.
Donc ce qu'il y à a amélioré: -Les relations Feferi/Eridan; Aradia/Sollux; ainsi que la mort d'Eri-chou. -Karkat. J'ai écrit beaucoup sur lui mais finalement, j'ai pas expliquer pourquoi deux semaines. -L'utilisation du présent passé au début, c'est assez fouillis tout ça. -Je me demande si vous avez compris que la personne qui devient aveugle c'est Tere-chou en fait... -Laissez un peu de suspens quand à la découverte du personnage d'Equius? Peut être? -Tavros. Je sais même pas pourquoi je l'ai laisser en vie celui là. -Nepeta a eut le doit à une exécution rapide sans aucun intérêt je trouve. -Le caractère. J'me demande vraiment si j'ai su le retracé, parce que j'en ai VRAIMENT pas l'impression... Après, je sais pas trop. :3 J'espère tout de même que ce passage vous a plut. ENJOY THE LIFE. |
| | | PrincesseDreamself
Messages : 346 Age : 24 Localisation : Dans une Impala, perdue aux Etats-Unis
| Sujet: Re: Le regard d'un défunt. Dim 3 Mar 2013 - 18:56 | |
| Waouh.
C'est fou .....
COMME TU ANALYSES A FOND CE QUE TU ECRIS. 8D
*pan*
Alors, à vrai dire, j'ai une flemme immonde de faire un énorme commentaire. Autant te dire que j'ai bien apprécié ma lecture. L'ambiance était là et il est vrai qu'il y des fautes, mais ce n'est pas légion et pas catastrophe. Je penserais à relire pour refaire quelques choses de plus précis ultérieurement - si tu le souhaites.
Niveau fond, le scénario était sympa, tout ça, mais j'ai trouvé que ça manquait d'âme. ôo J'ai l'air d'une Gamzee si je dis "te prends pas tant la tête et écris ce qui vient, bro ?" /PAN/.
Enfin, j'ai pas grand chose à rajouter, alors, euh.....
ADIEU /PAN/
EDIT : je tiens à dire que j'adore le titre. /PAN/ |
| | | elfenStylerFirst guardian
Messages : 1000 Age : 26 Localisation : Land of Puzzles and Clouds
| Sujet: Re: Le regard d'un défunt. Dim 3 Mar 2013 - 19:26 | |
| Héhé, merci. Pour l'âme, je crois que j'ai oubliée de dire que je me suis forcée à restée réveillée jusqu’à 6h du mat' pour finir l'idée de fond. u_u Vive les Gamzee pleins de sangs. 83 Aussi non, j’apprécierais bien beaucoup très une analyse genre trop méga bien de la mort qui tue, parce que les gens qui m'entourent si je leur fait lire ça il vont m'envoyer chez un psy où me faire un speach de 3h (si j'ai de la chance) sur pourquoi je ne vais pas bien. En plus si c'est un truc joyeux ils sont heureux parce qu'ils ne pourraient même pas écrire une seule phrase. u__u BREF! "Waouh.
C'est fou .....
COMME TU ANALYSES A FOND CE QUE TU ECRIS. 8D"
Quand j'ai relut j'ai fait un truc du genre "WTF?! C'est quoi ce ramassis de conneries? 0w0"
Z'aime pas l'orthographeuuuh! TT-TT
C'est le mot de la fin. Merci pour ton gentil commentaire. 83
PS: Je me demande si Karkat pourrait tué pleins de gens. °w° :PAN: |
| | | AcidChessFirst guardian
Messages : 1054 Age : 24 Localisation : Ah. Zut. Je suis paumée.
| Sujet: Re: Le regard d'un défunt. Dim 3 Mar 2013 - 21:21 | |
| Ouaaaah c'est formidableuh! *clap clap clap* j'aime beaucoup ton style d'écriture -même avec les quelques fautes d'orthographe se trouvant ici et là- J'ai vraiment adoré!
- Spoiler:
Après, cependant, j'ai l'impression que tu a fait mourir Karkat, certe, mais pourquoi est-il abscent de la pile de cadavre que réalise equius?
enfin après, j'ai peut-être mal lu ou zapper un truc (ce qui est fort possible)!
P-S: Si tu tue Akise dans CETTE salle, c'est moi qui te tuera. |
| | | elfenStylerFirst guardian
Messages : 1000 Age : 26 Localisation : Land of Puzzles and Clouds
| Sujet: Re: Le regard d'un défunt. Dim 3 Mar 2013 - 21:39 | |
| Aww, merci. :D - Spoiler:
Karkat est mort après Equius, il est mort juste avant Gamzee, transpercé par la lance de Tarvos -Je crois j'suis plus très sure de ce que j'écrit, mais je suis sure qu'il est mort après Equi-chawn.
PS: BWAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA! 8DD Qui sais. *D |
| | | VriskaserketSburb Player
Messages : 74 Age : 24 Localisation : IN YOUR ASS BITCH .
| Sujet: Re: Le regard d'un défunt. Dim 23 Nov 2014 - 11:38 | |
| eh bien ,ce n'est pas mal du tout , effectivement je ne vais pas nier le fait que pas mal de fautes soient présentes mais ça n'est pas grave :33 bravo et continue ,bon courage :D ! |
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| Sujet: Re: Le regard d'un défunt. | |
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